Y a eu des recherches à ce sujet, et deux mêmes déodorants vendus aux même personnes, l'un en solde, l'autre "à prix fort", c'est le prix fort qui emporte le plus de "satisfaction".
Ça ne m'étonne pas.
Et quand on sait les sal**eries qu'il y a dans les déodorants, probablement que ça monte au cerveau et empêche la réflexion ]]>
nazmi a écrit :j'aurais misé sur le fait que ce qui est gratuit semble plus attrayant du fait de sa gratuité
Il y a une grande différence entre libre et gratuit, mentalement, comme je l'ai exposé, mais aussi pratiquement.
Y a eu des recherches à ce sujet, et deux mêmes déodorants vendus aux même personnes, l'un en solde, l'autre "à prix fort", c'est le prix fort qui emporte le plus de "satisfaction".
C'est vraiment stupide, mais on attache le prix à la valeur affective qu'on attache à l'objet... Ou au service. Je commence à m'apercevoir que j'ai un mal *fou* à faire payer mes clients en dépannage informatique : j'ai toujours fait ça gratuitement, ça me paraît juste... Citoyen, comme faire traverser la route à quelqu'un. Dans ma tête dépanner un ordi = service anodin, sans valeur marchande (cela dit, je le pense aussi, certains services à la personne n'auraient jamais dû se monitariser...).
Et le salaire pour les gens, comme le prix pour les objets, devient un classement inavoué que tout le monde s'applique au quotidien.
Si on est persuadé qu'un homme est un homme, on devrait être sans cesse scandalisé qu'on ose payer dix fois plus un médecin qu'une femme de ménage pour quelque chose d'aussi léger qu'une formation sur quelques années (qui n'est pas homogène socialement ce qui montre bien qu'il n'est pas question de mérite...).]]>
En gros le gratuit c'est comme le reste : il y a de très bonnes choses et d'autres complètement pourries. Faut faire le tri wink
Bien dit ]]>
Mercredi a écrit :smolski a écrit :Ah oui, éviter de parler de la complète gratuité, ce qui dans ce monde socio-économicus-basique est synonyme d'inefficacité
Pas forcément : en informatique la plupart des utilisateurs utilisent des logiciels ou applications gratuits et en sont très contents.
Non, ils s'en accommodent car l'intrusif de la pub (qu'ils supportent pour la plupart...) dans nos vies est tellement abusif qu'elle n'est plus perceptible bien qu'agissant dans nos comportements sociaux en effaçant toute pensée sociale individuelle et de là en portant à « banaliser le Mal » dans nos consciences.
En gros le gratuit c'est comme le reste : il y a de très bonnes choses et d'autres complètement pourries. Faut faire le tri ]]>
smolski a écrit :Ah oui, éviter de parler de la complète gratuité, ce qui dans ce monde socio-économicus-basique est synonyme d'inefficacité
Pas forcément : en informatique la plupart des utilisateurs utilisent des logiciels ou applications gratuits et en sont très contents.
Non, ils s'en accommodent car l'intrusif de la pub (qu'ils supportent pour la plupart...) dans nos vies est tellement abusif qu'elle n'est plus perceptible bien qu'agissant dans nos comportements sociaux en effaçant toute pensée sociale individuelle et de là en portant à « banaliser le Mal » dans nos consciences.
Le caractère de mode que prennent les marques en est un exemple concret évitant de s'interroger sur le commerce mondial portant notamment à une forme d'obsolescence programmée qui a pour conséquence directe et prédictible d'exténuer toujours davantage la survie de l'espèce humaine sur la Planète, sans parler de l'esclavage qu'elles utilisent communément.
No pasaran épicétou
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