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C'est à dire une partition étendue sur sdb! Est-ce non pas un disque, mais l'ensemble des disques qui ne peuvent supporter que 4 partitions primaires?
J'aurais également voulu savoir, enfin, pourquoi une partition étendue "ça pue"?
"Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus. Roi Loth, François Rollin.
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Dernière modification par Debian Alain (21-01-2019 20:04:49)
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j'ai penché pour une installation de Stretch, seule, sur le SSD
Et Fedora ?
C'est à dire une partition étendue sur sdb! Est-ce non pas un disque, mais l'ensemble des disques qui ne peuvent supporter que 4 partitions primaires?
Non, c'est bien 4 partitions par disque.
Ici, c'est seulement le résultat du partitionnement assisté : il crée systématiquement une seule partition primaire et toutes les autres partitions logiques. Dans le cas où il y a moins de 5 partitions, c'est parfaitement inutile. Sans parler des tailles choisies qui ne sont pas toujours appropriées. C'est pourquoi je recommande de ne jamais utiliser le partitionnement assisté.
pourquoi une partition étendue "ça pue"?
Parce que c'est compliqué et fragile. Les partitions logiques sont définies comme une liste chaînée. En fait, pour chaque partition logique, il y a une partition étendue cachée emboîtée dans la précédente. Il arrive que la chaîne soit rompue (-> partitions perdues), ou fasse une boucle (-> nombre de partition infini).
Edit : toutes ces tables de paritition étendues, visible ou emboîtées/cachées, ont leurs propres tables de partition, dispersées un peu partout sur le disque. Pour sauvegarder la table de partition complète, on ne peut pas se contenter de sauvegarder le contenu du MBR du disque, ni même l'EBR de la première partition étendue visible lorsqu'il y a plus d'une partition logique. Aussi, la création de partitions logiques cause l'écriture de tables de partitions étendues un peu n'importe où sur le disque, ce qui peut écraser des données qu'on chercherait à récupérer ou à l'inverse rend plus difficile de les retrouver. Alors qu'avec des partitions primaires ou le format GPT, il y a une seule table de partition située dans à un emplacement bien défini.
La numérotation des partitions logiques n'est pas stable et peut changer quand on crée ou supprime une partition logique. Ce n'est normalement pas gênant si on utilises les UUID ou LABEL pour référencer les partitions dans /etc/fstab, mais cela peut l'être pour GRUB lorsqu'il référence la partition contenant /boot/grub.
Pour ma part, quand j'ai besoin de plus de 4 partitions/volumes, j'utilise GPT ou LVM. On va me répondre que LVM est encore plus compliqué que les partitions logiques, certes, mais il offre de nombreux avantages en contrepartie.
Dernière modification par raleur (21-01-2019 21:27:39)
Il vaut mieux montrer que raconter.
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saque eud dun (patois chtimi : fonce dedans)
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Et Fedora ?
Et bien je laisse de côté pour le moment le multiboot, tant que je n'ai pas suffisamment de connaissances pour gérer ses contingences. En VM sans doute dès que je m'y attelle.
Ludox a écrit :C'est à dire une partition étendue sur sdb! Est-ce non pas un disque, mais l'ensemble des disques qui ne peuvent supporter que 4 partitions primaires?
Non, c'est bien 4 partitions par disque.
Ici, c'est seulement le résultat du partitionnement assisté : il crée systématiquement une seule partition primaire et toutes les autres partitions logiques. Dans le cas où il y a moins de 5 partitions, c'est parfaitement inutile. Sans parler des tailles choisies qui ne sont pas toujours appropriées. C'est pourquoi je recommande de ne jamais utiliser le partitionnement assisté.
Ah, ok, donc mieux vaut installer en manuel comme indiqué ici:https://debian-facile.org/doc:install:partitions-manuel ?
En tous cas merci pour ces mines d'infos , je mets en résolu puisque j'ai pu récupérer mes partoches avant de refaire quelque chose de plus propre.
"Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus. Roi Loth, François Rollin.
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